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« Entretenir et améliorer la locomotion du
cheval par un parage approprié sur la
boîte cornée et, en fonction des besoins du
cheval, par l’application de ferrures ou de
prothèses adaptées » : voilà comment peut
se résumer la fonction de maréchal-ferrant.
Le métier connaît actuellement un certain
nombre d'innovations en termes de maté-
riaux (matériaux synthétiques tels que la ré-
sine...), de techniques (collage...) et d’équi-
pements prenant de plus en plus en
compte l’ergonomie. Des connaissances
approfondies sur la locomotion du cheval
et en biomécanique sont nécessaires.
Le métier requiert de plus en plus de techni-
cité, en particulier pour la maréchalerie
concernant les chevaux de courses ou de
sport.
Le titulaire d’un CAP peut travailler comme
salarié dans une
entreprise de maréchale-
rie ou bien dans une écurie de chevaux
de sport, de compétition ou d’élevage
. Le
métier s’exerce souvent seul mais en rela-
tion avec d’autres professionnels du
monde autour du cheval : vétérinaires, os-
téopathes, entraîneurs, cavaliers, fournis-
seurs de matériaux, selliers...
GUIDE AGRI PEEP
19
A l’inverse des autres CAP
agricoles, le CAP agricole spé-
cialité maréchal-ferrant est
spécifique à un seul métier,
celui de la maréchalerie.
On compte environ
1 500
entreprises de maréchalerie en France. La grande majorité
étant constituée d’entreprises individuelles. La clientèle ? Des écuries de courses ou de
sports, des clubs et centres équestres ainsi qu’une clientèle de particuliers, amateurs de
chevaux de loisirs.
SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR…
un métier
Pour exercer le métier de maréchal-ferrant,
une bonne condition physique est nécessaire.