Les entreprises hippiques sous
statut agricole représentent
environ
39 000 emplois
répar-
tis essentiellement entre :
• l’entraînement des chevaux
de course avec environ 2 900
entreprises,
• le secteur de l’équitation de
loisir et de compétition avec
environ 7 800 entreprises,
• le secteur de l’élevage
avec environ 42 700 éleveurs.
Les emplois sont régis par la convention col-
lective des écuries de galop et de trot.
Dans ces écuries, le lad-cavalier d’entraîne-
ment assure les soins quotidiens aux che-
vaux et participe à leur entraînement pour
les courses sous la responsabilité de l’en-
traîneur.
L’amplitude de travail est forte, la journée
étant rythmée par les soins aux chevaux
matin et soir et par l’activité de valorisation.
Les entraînements se déroulent tôt le matin
pour tenir compte du bien-être des che-
vaux. Par ailleurs, en fonction du calendrier
des courses, le lad-cavalier d’entraînement
est amené à travailler les week-ends et jours
fériés.
GUIDE AGRI PEEP
15
des métiers
Une écurie de courses accueille des chevaux afin de les entraî-
ner et de les préparer au mieux aux courses hippiques. C’est là
qu’intervient le cavalier d’entraînement, dans des écuries de
galop, que l’on appelle lad, lad jockey ou lad driver dans des
écuries de trot.
Des aptitudes physiques et mentales (gestion du stress, acceptation du risque...) peuvent per-
mettre au titulaire de l’emploi de
devenir driver ou jockey
et de parti-
ciper à des courses aussi bien régionales, nationales qu’internationales. Attention, dans les
courses de galop, des impératifs de poids maximum sont incontournables !
SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR… A SAVOIR…